Championnat du monde d'île de France féminin : Jours Deux et Deux fois Deux moins Un

Ok, ça fait deux… Deux fois que vous trépignez un lundi pour avoir le résumé du lundi du match du dimanche. Ok, ok, ça fait aussi deux fois que vous attendez deux fois deux jours pour les résultats… et aussi deux matchs pour lesquels vous savez plus combien deux de fois deux jours ça fait que vous attendez les résultats.

Bref, bref, bref, deux petits mots d’excuse (Par et Don) pour vous avoir fait languir et deux petits paragraphes pour vous raconter en deux secondes ces deux week end de championnat

Commençons par nous remémorer ce dimanche 7 avril, désormais appelé jour de l’hécatombe… Il est 9h, le fringuant BAT s’achemine en terres Noiséennes pour une farouche confrontation. Et dès le début, ça s’annonce compliqué, entre les vestiaires inaccessibles, les accidents sur le périph’ et les boulangeries fermées, on sent bien que le ciel essaie de nous dire quelque chose. Et pourtant, sans peur et pour l’instant sans reproche, le BAT se lance dans la bataille…

Un premier match globalement pathétique, où on se demande où (et pourquoi) le BAT cache son bâton et son talent. Première manche, premières erreurs et première blessée, on l’avait senti, ça va être laborieux… L’avantage quand c’est aussi moche, c’est que ça se termine vite : défaite en deux fois deux manches, sur un score qu’on n’ose même pas mentionner.

On se dit que le match est fini, qu’on peut souffler un peu et que la petite trêve va nous permettre de nous requinquer… Malheureusement le danger est surtout là où on ne l’attend pas, dans l’erreur bête mais fatale (et pourtant on le sait qu’il y a des gens qui se blessent exclusivmeent hors du terrain). Cette fois, pas de couteau mais beaucoup de sang, et hop, une deuxième joueuse en moins. Qu’àà cela ne tienne, le BAT, qui commence à avoir un effectif bien réduit aborde, dans des dispositions qu’on espère toutes autres, son deuxième match. Bon, il semblerait quand même que le BAT joue mieux le ventre plein, il tient (assez) bon, et se défend comme il peut contre toutes les attaques (on notera un doigt, une malléole et un pied en vrac également), mais s’incline une deuxième fois (sur un score qu’on pourrait dire mais dont on ne se souvient plus malheureusement).

Cette deuxième journée se termine enfin, on se serait quand même presque demandé s’il y avait pas un chat noir dans le coin… alors que d’habitude le BAT aime bien recruter des joueuses blondes aux yeux bleus, surtout quand on connait leur talent (Merci pour ta présence ce dimanche, quoi qu’on en dise) !

Note positive tout de même, il fait encore soleil en rentrant (malgré les embouteillages) et la bière est toujours aussi bonne (même si les sweats sentent le Kiri).

Bref, une journée qu’on fera attention à ne pas oublier pour qu’elle se reproduise plus jamais, comme dirait un monsieur très sage malgré sa marinière.

Deuxième paragraphe (hum hum) pour une deuxième journée qui est en fait la deux-fois-deux-moins-une^ème journée du championnat du monde d’ïle de France féminin. Dimanche 14 Avril, le BAT affronte les vaillantes ermontoises...

Ca commence pas trop tôt (ce que le BAT aime), sous le soleil (ce que le BAT aime encore plus), et sous les yeux de tous pleins de spectateurs que ça fait très plaisir de les voir ( ce que le BAT aimerait voire (encore) plus souvent). Un premier match plutôt propre, voire même sans trace, qui se termine sur une jolie victoire en 4 manches et un score de 17 à 3, avec des jolis hits, de belles actions, les premiers tours de bâtons de Marion et premières actions en féminin de Jenn en 2^ème base (à noter que cette joueuse, avec 2 fois moins de matchs au compteur vient prendre la tête du classement des HP).

Une ou deux batailles d’eau plus tard, c’est reparti pour un second match et sa nouvelle configuration ; ça marche plutôt pas mal, jusqu’à ce que le BAT décide de faire durer un peu le suspens. Un peu mais pas trop, hein, avec une dernière manche express qui voit le BAT s’imposer 12 à 7 contre une équipe ermontoise qu’ont connait bien et qu’on aime toujours autant (et qu’on aimerait voir un peu plus aux soirées tout de même).

Une fois n’est pas coutume, deuxième note positive, il fait toujours beau et la bière est toujours bonne, surtout quand elle est partagée avec nos adversaires du jour, qui font des miracles aux fourneaux.

A dimanche pour la deux-fois-deux–ième journée de championnat, toujours pas trop tôt, toujours sous le soleil inch’Allah, mais avec toujours autant d’envie et d’énergie !

La team Com(plêtement sous l'eau)